• un pasteur de londres divorce et quitte l’eglise : scandale ou pas?

     

    L’église est aujourd’hui au milieu du village. Comme disait un adage « J’ai cherché l’église et je l’ai trouvée dans le monde »

    Le Media Congolais vivant en Angleterre est bondé par des scandales de tout genre. Nous avons les photos d’un pasteur de Londres qui se masturbe pendant qu’il chattait avec une femme au Skype ; il paraitrait que s’était une femme mariée. Nous avons aussi la vidéo d’un autre pasteur de France qui s’est posé nu, jouant avec son pénis à la webcam pendant qu’il parlait avec une femme mariée aussi. Tous ces pasteurs sont eux-mêmes maries et pères de famille. Un autre pasteur maries qui se prend pour un grand pasteur à Londres vient d’engrosser deux jeunes filles dont l’une est son interprète, fiancée à un frère. Sans parler des pasteurs coureurs des jupons dont les plaintes ne cessent de tomber dans notre bureau.

    La femme d’un autre pasteur de l’Afrique du sud vient de passer dans le media social pour diffamer son mari pasteur qu’il couche avec une sœur de l’église au sein même de l’église. Or nous sommes au courant de la femme d’un pasteur à Londres qui, ensemble avec son mari pasteur ont des enfants dont parmi lesquels certains ne seraient pas du pasteur mais d’un frère de l’église. Le pasteur n’étant pas au courant, mais le frère en question qui couche avec la femme de son pasteur veut ses deux enfants qui sont vus comme ceux du pasteur. Alors la maman pasteur ne sait pas comment avouer cela et qu’est ce passera-t-il si son mari devenait au courant.

    En Allemagne, une femme du pasteur a la réputation de coucher avec les hommes et même avait couchée avec quelque frères maries de l’église. Nous constatons qu’il n’y a pas que les pasteurs qui font des scandales mais aussi leurs femmes, mamans pasteurs. Sans parler des prêtres qui, officiellement ne se mari pas mais nous connaissons des prêtres qui se sont mariés en secret et ont des enfants, il y a d’autres qui sont des pédophiles et d’ailleurs les media Anglais en avait fait trompettes ces derniers mois

    Dernièrement notre leader et président de l’ACVS, le pasteur JF Nzubila avait était contacté par une sœur qui venait d’être violée par un pasteur marie de Londres mais la sœur n’a pas suivi le conseille qui lui était donné par le pasteur Nzubila d’aller voir la police ( N.B. la sœur elle-même a donné permission au pasteur d’en parler et le pasteur a toute les évidences de cet affaire mais le pasteur Nzubila qui est un homme intègre n’a pas voulu en parler à la télé comme la sœur le voulait mais lui a conseillé de parler à la police et service de l’état. La sœur en effet avait était examiner par les services de l’état qui ont confirmé les faits mais la sœur a refusé de porter plainte). Elle croyait ainsi faire, protéger l’église. Bien sûr elle a quitté cette église et a été soutenu moralement et spirituellement par le pasteur JF Nzubila.

    Un autre pasteur a couché avec une de ses fidèles disant qu’elle sera ainsi délivrée de l’esprit de sirène. Sans parler des pasteurs qui oignent les femmes nues avec leur soit disant huile d’onction.

    Nous avons reçu plusieurs appels et correspondances demandant au pasteur Nzubila de donner son avis sur les séries des scandales au milieu des pasteurs et surtout sur le dernier en vogue concernant le divorce d’un pasteur de Londres qui s’est remarié avec une de ses anciennes copines. Mais le pasteur Nzubila que le peuple attend pour savoir ce que la Bible dit à ce sujet, n’est toujours pas disponible pour fixer l’opinion. Il a même décliné nos nombreuses tentatives pour lui arracher une petite interview mais il semblerait qu’il veut répondre une seule fois à la télévision. Il est le leader d’une génération des gens réveillés pour le reforme car lui-même es un réformateur de haut calibre.

    Nous voulons l’interviewer avant qu’il passe à la télé pour nous dire plus exactement ce que la Bible dit, soyez brancher ne manquer pas à cet interview inédit avec le pasteur JF Nzubila dans notre prochain article.

    Merci

    lien:http://actionchretiennelavoixdusalut.com/acvs-news/un-pasteur-de-londres-divorce-et-quitte-leglise-scandale-ou-pas/

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Pasteur adultere

     

    Le plus gros scandale par un Pasteur Africain

    Les images qui suivent montre un pasteur kenyan humilié dans son village en 2009, après avoir été surpris en flagrant délit d’adultère avec une fidèle de son église qui était l’épouse d’un policier. Ce pasteur pris en flagrant délit d’adultère au Kenya a été pris en train de tromper sa femme avec la femme d’un policier. Les gens de la communauté chrétienne n’ont pas été tendre particulièrement parce que ce pasteur s’était engagé assez sévèrement dans une croisade envers les époux fornicateurs et infidèles . Ils les ont battus jusqu’au sang, mis nus et ils les ont forcés a s’embrasser en public. De quoi faire réfléchir certains… soyez très prudent… Nul n’est parfait sur cette terre… Le pasteur et sa fidèle ont certainement eu une baisse momentanée de leur fermeté envers leur engagement devant Dieu, car la chair est faible, mais ils se relèveront certainement un jour … Cette grande humiliation, n’est-elle pas plutôt une vengeance du Policier ? Hélas !

     

    Pasteur adultere pasteur-adultere-001

    384989_137621263015441_100003027048970_167656_739116910_n

    pasteur-adultere-002  pasteur-adultere-0032 pasteur-adultere-0061-1024x680 pasteur-adultere-0051-1024x680 pasteur-adultere-004 pasteur adultere pasteur adultere

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    3 commentaires
  •  
     

    Quelles sont les origines de la fête païenne de l’Epiphanie et de la galette des « rois ».

    5 janvier 2013, 20:01

    Origines de la fête païenne de l’Epiphanie et de la galette des « rois ».

     

     

    L'Épiphanie a lieu 12 jours après Noël. Ces 12 jours représentent aussi le décalage entre le calendrier lunaire et le calendrier solaire. Une année fait 12 mois lunaires (à l'origine le mois représentait la période entre deux nouvelles lunes, soit 29,5 jours). Cela fait un total de 354 jours. Il faut ajouter presque 12 jours (comme les 12 mois de l'année) pour atteindre l'année solaire.

     

    6 jours après Noël et 6 jours avant l'Épiphanie, se déroule le passage à la nouvelle année.

     

    L'Épiphanie est traditionnellement fixée au 6 janvier mais pour plus de commodité, l'Église catholique la célèbre le dimanche qui suit le 1er janvier. L'Épiphanie, Fête des Rois, commémore l'adoration des « Rois » Mages pour Jésus, sa reconnaissance en tant que Messie.

     

    Pour redresser une vérité tordue volontairement par les catholiques, je rappelle que les mages cités dans les évangiles n’étaient pas des rois, mais des prêtres de Mithra, et c’est en tant que Mithra qu’ils ont cru trouver Jésus. Le carnage des enfants qui suivit l’annonce par les mages à Hérode de la venue d’un nouveau roi en Palestine, puis la fuite en Egypte pour sauver l’enfant, démontre plus un conflit spirituel qu’autre chose. Car on entendra plus jamais parler des mages par la suite, et le christianisme n’aura de cesse de combattre le mithraïsme, jusqu’à son éradication.  

     

    Le texte biblique emploie le terme de mage, du grec μάγος. En général, un mage désigne à l'origine un prêtre perse ou mède, originaire de Babylone. Ils étaient réputés pour leur connaissance en astronomie et astrologie. On employait aussi le terme grec dans un sens péjoratif, avec celui de magicien. Ce terme est à l'origine de la magie, du magicien et de ce qui est magique. Clairement c’est la tendance monothéiste du paganisme persan qui est visée, tendance qui par syncrétisme absorbe toujours plus de croyances païennes  en se diffusant dans le monde romain au travers de ses armées. Au fur et mesure que l’on s’approche de l’an 0 de l’ère commune, le syncrétisme des divinités païennes va s’accélérer, afin d’offrir une solution globale aux peuples qui attendent un salut de leurs âmes de la part des dieux. 

     

    Que les choses soient extrêmement claires, toutes les fêtes païennes telles que Noël, le Nouvel an, la Chandeleur, et l’Epiphanie (entre autres) sont une tentative réussie par l’adversaire d’imposer un calendrier et un cycle de fêtes païens  dans le monde, qui est diamétralement opposé au temps et fêtes bibliques.  

     

     

    Origine païenne de l’Epiphanie

     

    La galette des Rois est un gâteau célébrant l’Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date. La tradition veut qu’elle soit l’occasion de « tirer les rois » à l’Épiphanie : une fève est cachée dans la galette et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée et a le droit de porter une couronne de fantaisie et ainsi d'être le roi.

     

    Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne , il était d’usage de tirer au sort la royauté. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches sur France4 les cérémonies qui s’observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »

     

     C’est cet usage qui est passé jusqu’à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels. La galette, qui ressemblait à l’origine à une brioche en forme de couronne (ce qui est toujours le cas dans le sud de la France), n’est apparue qu’après. Sa forme ronde et sa couleur dorée en faisait un symbole solaire évoquant le "dieu" soleil, les jours qui se remettent à rallonger et le réveil prochain de la nature. Aujourd’hui, on peut voir dans la tradition de la galette, dans laquelle se cache la fève qui désignera le roi ou la reine du jour, une transposition de la reconnaissance d’un roi au sens des mages, autant que les réminiscences d’une tradition populaire de transgression. Combien de « chrétiens ???» de « prêtres et pasteurs ??? » se sont donc conformés à un rituel et une tradition totalement antéchrist dans sa nature et sa forme, ces derniers jours (ou vont le faire ces prochains jours) ? Pratiquer, ou même ne plus le dénoncer, c’est l’accepter et donc favoriser l’apostasie et la venue de l’antéchrist, qui ne sera possible, que parce que le monde aura oublié la sainteté de l’évangile du Christ.

     

     

    Qui était le Saturne des romains et pourquoi les saturnales des romains ?

     

    Les festivité du 25 décembre, du natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible (sol invictus), avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut christianisé en tant que date à laquelle était né Jésus Christ.

     

    « Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver.

     

    C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.

     

    Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, pour Noël, nous savons maintenant où nous avons emprunté ……….. nos traditions des fêtes.

     

    Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures.

     

    Il était aussi adoré lors de ces fêtes en son honneurs qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était donc aussi le dieu Soleil) réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu.

     

    La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

     

    Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne.

     

    Les Babyloniens l’appelaient Tammuz, fils de Semiramis (mère) et de Nimrod (père). Tammuz était censé être Nimrod ressuscité. Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides) étaient en fait d’autres noms de Nimrod. Ce dernier, comme Chronos, est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

     

    Tammuz = Jupiter ="dieu lune" = fils

    Nimrod = Saturne = "dieu soleil" = père =Baal 

    Semiramis = Venus = "reine du ciel" = Astarté = Ashtarot = mère

     

     

    Elohim notre Père Eternel est un D.ieu jaloux, ne l'oublions pas ! Repentons-nous et ne suivons plus les voies des nations !

     

    Exode 34:14

    Tu ne te prosterneras point devant un autre dieu; car l’Eternel porte le nom de jaloux, il est un Dieu jaloux.  

     

    Lévitique 20:23

    Vous ne suivrez point les usages des nations que je vais chasser devant vous; car elles ont fait toutes ces choses, et je les ai en abomination. 

     

    1 Samuel 7:3

    Si c’est de tout votre coeur que vous revenez à l’Eternel, ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre coeur vers l’Eternel, et servez-le lui seul.

     

    Michée 5:9-15

    Que ta main se lève sur tes adversaires, Et que tous tes ennemis soient exterminés !

    En ce jour-là, dit l’Eternel, J’exterminerai du milieu de toi tes chevaux, Et je détruirai tes chars;

    J’exterminerai les villes de ton pays, Et je renverserai toutes tes forteresses;

    J’exterminerai de ta main les enchantements, Et tu n’auras plus de magiciens; 

    J’exterminerai du milieu de toi tes idoles et tes statues, Et tu ne te prosterneras plus devant l’ouvrage de tes mains;

    J’exterminerai du milieu de toi tes idoles d’Astarté, Et je détruirai tes villes.

    J’exercerai ma vengeance avec colère, avec fureur, sur les nations Qui n’ont pas écouté.  

     

     

    (voir aussi Esaïe 17

     

     

     

     

     

    Source :Facebook
    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Les premières femmes évêques de l’Église anglicane d’Angleterre pourraient être ordonnées à la fin de l’année
     

    L’Église anglicane d’Angleterre réunie en synode général a décidé mardi 11 février d’accélérer l’adoption d’une réforme visant à autoriser les femmes évêques, dont les premières ordinations pourraient intervenir avant la fin de cette année 2014. L’assemblée a voté en faveur d’une procédure rapide, en réduisant de six à trois mois le temps des consultations qui seront menées sur le sujet dans chacun des 44 diocèses. Ce qui devrait permettre à cette réforme d’être entérinée définitivement par l’Église d’Angleterre en juillet, et de voir les premières femmes ordonnées évêques à la fin de l’année.

    L’Église d’Angleterre avait approuvé en novembre 2013, à une écrasante majorité lors d’un précédent synode général, le principe de l’ordination des femmes évêques, un an après avoir rejeté de peu cette réforme. Ce changement historique est soutenu par l’archevêque de Cantorbéry, le Dr Justin Welby, à la tête de l’Église d’Angleterre qui dispose d’un statut officiel, puisque la reine en est le gouverneur suprême. Il est aussi approuvé par le premier ministre David Cameron.

    L’ÉCHEC DE LA RÉFORME EN NOVEMBRE 2012 AVAIT RAVIVÉ DE VIVES DIVISIONS AU SEIN DE L’ÉGLISE D’ANGLETERRE

    « Nous tournons autour d’une législation sur les femmes évêques depuis de très nombreuses années. Nous approchons désormais de la terre promise et c’est enthousiasmant », s’est réjouie Lois Haslam, une déléguée du diocèse de Chester (nord-ouest), lors des débats à Londres.

    La procédure accélérée a été approuvée par 358 délégués, tandis que 39 votaient contre et neuf s’abstenaient.

    L’échec de la réforme en novembre 2012 avait ravivé de vives divisions au sein de l’Église d’Angleterre, qui autorise déjà l’ordination de femmes prêtres. Des femmes ont déjà été ordonnées évêques dans d’autres Églises anglicanes notamment aux États-Unis, en Australie, au Canada et au Swaziland.

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires