• Concile de Jérusalem (fiction)

    Concile de Jérusalem (fiction)

     

     

    Note avant propos:  Avant de commencer toutes choses, j’aimerais vous dire quelques épreuves que je vie pour l’évangile. A cause de ce blog et des vérités gênantes qui y sont écrites. Je reçois des dizaines d’insultes et de menaces par jour.

    (Sans oublier les épreuves de la vie à cause du seigneur MASHIAH )

    Mais je suis heureux de vivre ces choses, car, ma récompense n’en sera pas moins grande.

    J’ouvre ce blog à tous les « Amoureux de la vérité »,je parle uniquement aux hommes, tous ceux qui comme moi ne reconnaissent aucun homme au dessus d’eux comme guide, ni aucun système religieux.

    Vous pouvez proposer, ou écrire des articles mentionnant votre nom et contact à la fin de l’article.

    Ma boite Yahoo est :dabocyrus225@yahoo.fr

    Shalom à tous !!!

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    Pourquoi le concile de Jerusalem est une fiction ?

    Le mot concile n’est pas biblique, il ne se trouve nulle part dans les écritures. C’est une horrible invention des satanistes réunissant tous les adeptes de satan camouflés derrière les titres d’évêque, avec à sa tête un ennemi de Elohim : le pape (2 Corinthiens 11:13)

    J'ouvre une parenthèse ici pour vous  dire que le terme "souverain Pontife" revient au MASHIAH seul.La grande Babylone,la mère des prostituée s'est acquis ce titre au pris du sang des saints.Ce terme signifie "l'intermédiaire entre Elohim et les hommes".Souvenez-vous de celui qui est digne de porter ce nom! (1 Timothée 2:5

    Il s'appelle Yeshua HAMASHIAH (jésus christ).

    Les plus hypocrites des assemblées chrétiennes sont celles jugées de la reformes (Protestants, évangéliques…) qui adoptent quelques point de certains conciles ; admettant automatiquement l’authenticité des hommes qui les ont décidé. Ce qui est une abomination incontestable.

    Pour authentifier leur religion babylonienne. Les religieux ont décider de trouver le commencement de leur réunion occulte dans la Bible.

    Dans un tel état d’esprit, ils ont décidé de nommer un certains Pierre comme Pape.

    NB : Avant de continuer sachez qu’il existe deux Pierre, deux Paul, deux Christ, deux Dieux, deux peuples de Dieux, deux Maries,deux satan…le vrai et le faux.

    Nous le démontrerons progressivement !!!

    Ne vous laissez donc pas distraire par Wikipedia et d'autres moteurs de recherche, qui définissent "le concile des apôtres" en "réunions des apôtres".Amen

    Nous  attestons que le concile de Jérusalem n’a jamais existé. Dans le sens qu’Aucun apôtre n’a participé a un des conciles, ni Pierre, ni personne.

    Il eut en effet, une grande réunion d’échange à cette époque à Jérusalem,  qui opposait deux courants de pensée.

    Cette réunion qui réunissait les fils de Elohim, c'est-à-dire les disciples, ne peut et ne sera jamais confondu aux réunions sataniques des Evêque du monde. Il y avait à cette réunion toutes sortes de gens : les apôtres, les anciens, et les simples disciples.

    Ce qui n’est pas le cas des Conciles. Il est interdit aux laïcs c'est-à-dire aux non illuminés, aux simples disciples. Si vous n’êtes pas initié dans la sorcellerie de la magie blanche ou noir, vous ne pouvez participer à un des conciles.

    La réunion de Jérusalem était guidée par YHWH dans la volonté d’établir la vérité dans l’unité du corps de MASHIAH.

    Alors que leur concile de Jérusalem est une assemblée d’hypocrites, qui ne se souci pas de la vérité, mais qui plutôt favorise le mensonge par des dogmes anti-scripturaires.

    En fait, ils ne font qu’appliqué simplement ce que satan leur dicte (je pèse bien mes mots).C’est le cas de la musique et de toutes les autres sciences qu’ils ont habilement perverti par la pestilence de leur ruse.

     

    J’en veux pour preuve cette vidéo authentique.

     

     

    Problème du concile: Doit-on imposer aux non-juifs convertis la loi de Moise ?

    En d'autre terme, faut-il être juif pour être sauvé ?

     

    Je vous l'assure mes bienaimés, ce problème perdure jusqu'aujourd’hui. J'ai connu un groupe de juif sur internet qui considère comme "maudit", tous ceux qui se disent chrétiens et n'applique pas la loi de moise. J’ai beau essayé de leur faire entendre raison, mais, rien n'y fit. Ils m’ont banni de leur groupe d'ami et ont demandé à leur suppôt d'en faire autan.
     

    En un temps record, je fus banni de leurs amis, et des amis de leurs amis. 

    J'avais à cette époque beaucoup d'amertume, pour deux raisons. La première c'est que le seigneur m'avait montré l'inutilité de cette loi mosaïque pour les non-juifs. Deuxième raison, plus sentimentale était que ces gens étaient ma seule famille chrétienne d'alors. Mais YHWH m'a réconforté, et m'a donné une autre famille .Une autre plus belle, l'épouse de Yeshua HAMASHIAH. 

     Je prie YHWH qu'ils se répententent.

    Amen 

     

    Ce que des disciples n'avaient pas bien compris à cette époque, c'est qu'il existe deux types de juif ?

    -Les juifs de la chair

    -Les juifs de l'Esprit

     

    --> Le vrai juif s'est celui qui l'est en Esprit ! Paul déclare:

    Romains 2

    17 Eh bien, toi qui te donnes le nom de Juif, tu te reposes sur la Loi, tu te vantes d'appartenir à Dieu,

    18 tu connais sa volonté, tu juges de ce qui est le meilleur parce que tu es instruit par la Loi.

    19 Tu es certain d'être le guide des aveugles, la lumière de ceux qui errent dans les ténèbres,

     

    20 l'éducateur des insensés, l'enseignant des enfants, tout cela sous prétexte que tu as dans la Loi l'expression parfaite de la connaissance et de la vérité.

    Ou encore :

    Romains 2:27-29

     

    28 Le Juif, ce n'est pas celui qui en a les dehors; et la circoncision, ce n'est pas celle qui est visible dans la chair.

    29 Mais le Juif, c'est celui qui l'est intérieurement(...)

    C'est pourquoi,

    Romains 10:12 

    Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif (juif selon la chair) et le Grec(non-juif selon la chair) , puisqu'ils ont tous un même Seigneur(lui même juif selon l'Esprit et la chair), qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent.
     
    Le seigneur MASHIAH est juif selon la chair car il est né juif.Puis selon l'Esprit, car il est le Messie.

    Frère chrétien , nous sommes nous aussi descendants d'Abraham,Que tu sois Sénégélais,Suisse ou Koréen(...),si tu crois en MASHIAH, tu es descandant d'Abraham,son héritier direct.

     

    1. Romains 4:16C'est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham, notre père à tous, selon qu'il est écrit:
    2. Galates 3:29Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abrahamhéritiers selon la promesse.

                                                          

         Il est donc inutile* pour un non juif d'appliquer la loi de moise pour être sauvé.Car le Salut vient certe des juifs , mais il est en MASHIAH.

    Il faut donc croire au vrai MASHIAH seul, pas à cet  imposteur et ses lois:

    Concile de Jérusalem (fiction)

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    Contexte historique:

    Actes des Apôtres,
    Annotations,   chapitre XV

    Le "concile" de Jérusalem : une étape fondamentale dans la réflexion de Paul

    15:1“À moins d'être circoncis et de marcher dans la tradition de Moïse, vous ne pouvez être sauvés.” 
    Ceux qui étaient du parti des Pharisiens demandaient à ce que les chrétiens issus du paganisme non seulement soient circoncis mais suivent les commandements de la Loi . Leur injonction est reprise au v5 mais avec une autre expression: la "loi de Moïse". 
    Luc différenciait la tradition (Lc 2:27; 4:16; Ac 6:14), de la Loi de Moïse orale (Lc 2:22; 24:44), ou écrite  (Lc 2:23,39). La tradition s'étendait aux applications de la Loi régissant tous les gestes de la vie quotidienne et consignées dans le Talmud. Se posait notamment le problème des repas pris en commun et qui, eux, relevaient de la “tradition de Moïse” avec une nourriture casher ; or c'est bien la question des repas qui fut à l'origine du premier heurt que Paul eut avec Pierre et dont il faisait état au début de sa lettre aux Galates.
    Dans le texte alexandrin, la phrase 
    “et que vous marchiez” a disparu au profit d'un article au datif précédant le nom de Moïse au génitif. Cette disparition a généré un problème de fond:
    Ἐὰν μὴ περιτμηθῆτε τῷ  ἔθει τῷ  Μωϋσέως, οὐ δύνασθε σωθῆναι. 
    Si vous n'avez pas été circoncis suivant la tradition, celle de Moïse, vous ne pouvez être sauvés.
    La circoncision était bien  antérieure à Moïse qui en avait seulement codifié l'usage . Elle remontait à Abraham, et ce n'était pas une simple tradition mais un commandement de la Torah: 
    Le huitième jour, on circoncira l'enfant. (Lv 12:3)  Il est inconcevable que ceux qui étaient du parti des  Pharisiens, aient énoncé leur reproche de manière aussi paradoxale.  Ce n'est certainement pas Luc qui le leur a imputé mais les traducteurs et les scribes qui , dès la fin du premier siècle, ont retouché son texte de manière à justifier l'abandon de la circonscision en la faisant passer d'un commandement divin à une simple coutume issue de Moïse. De fait l'ensemble du chapitre a été retouché dans la tradition alexandrine en fonction d'un regard paulinien. 


    15,2 Se produisit alors une tension  et un questionnement pas mince entre Paul Barnabas et eux. Paul disait en effet de demeurer dans la position dans laquelle on était devenu croyant, le soutenant avec force. Alors ceux qui étaient venus de Jérusalem les persuadèrent, Paul Barnabas. et quelques autres - de monter vers les apôtres et les anciens,  à Jérusalem pour qu'ils soient jugés par rapport à eux sur cette question .

    ἐκτάσεως est une extension au sens propre, une tension au sens figuré. Ainsi un sujet essentiel était mis en débat. Il ne s'agissait pas d'un conflit de personnes mais d'une orientation qui allait avoir des conséquences importantes. D'où la nécessité que la communauté mère, Jérusalem, délibère à ce sujet.
    ὅπως κριθῶσιν ἐπ' αὐτοῖς : qu'ils soient jugés, littéralement sur eux, soit par rapport à eux. 
    Le verbe au passif a été considéré comme un actif dans le latin correspondant: “qu'ils jugent sur (super) eux”. 
    Luc résumait la position de Paul en une phrase: il fallait selon lui rester dans l'état où la conversion au Christ avait trouvé chacun. Les païens n'avaient pas à se faire circoncire, quand aux Juifs, ils restaient ce qu'ils étaient. En effet, Paul qui était Juif ne renia pas la religion mère mais offrit des sacrifices chaque fois qu'il se rendit à Jérusalem. Cette synthèse de la réflexion Paulinienne est conforme à la vision que s'en faisait Luc, à cette période, antérieure aux lettres écrites par l'Apôtre. Car si Paul se battait pour que la circoncision ne soit pas imposée aux non-Juifs, il ne recommandait pas aux Juifs d'abandonner la circoncision. Cette phrase (attestée également par les anciennes versions Latine, Syriaque et Copte) n'est pas contradictoire avec la position de Paul à cette période de sa vie. 
    Cependant les copistes du texte alexandrin ont réduit le verset car il devait faire problème à leur époque:
    “Il en résulta un conflit et un questionnement pas mince avec Paul et Barnabas. Ils décidèrent Paul et Barnabas à monter à Jérusalem avec quelques autres d'entre eux devant les apôtres et les anciens sur cette question” .
    A la fin du second siècle les Chrétiens d'origine Juive étaient les moins nombreux et donc marginaux. Il n'était plus question pour l'Eglise de promouvoir d'une manière quelconque la fidélité à la tradition antérieure; c'est pourquoi le verset fut retouché et raccourci.


    15,4 ils furent reçus grandement par l'église.

    Le verbe et l'adverbe présentent l'un et l'autre une erreur , que le correcteur du codex Bezae a retouchée: παρεδόθησαν μεγως est à lire παρεδέχθησαν μεγάλως. 
    Barnabé et Paul furent accueillis grandement, avec égards. Cette réception n'était pas celle que laissait présager la délégation des Pharisiens convertis, descendus à Antioche. Elle manifeste l'autorité des deux apôtres et la crainte de l'église de Jérusalem de ne pas se les concilier. 

    15,7a Pierre se leva dans l'Esprit... 

    Se lever, marque une attittude de spontanéité et d'autorité; en outre c'est le verbe de la résurrection. Dans l'Esprit, signifie qu'il le fit par une motion soudaine de l'Esprit Saint. L'expression a disparu du texte alexandrin (voir la raison au v 41 ci-dessous) 

    15,7b- 
    vous savez que depuis des jours anciens pour nous, Dieu a fait choix par ma bouche.

    Les “jours anciens” est une expression consacrée, évoquant les temps reculés des premiers récits bibliques comme la sortie d'Egypte(cf Ps 142/3:5) ou encore l'alliance avec Noé. 
    "Pour nous” , au datif peut se lir en continuité avec les jours anciens; pour Pierre, désormais les "jours anciens" remontaient à Jésus et non plus à la sortie d'Égypte. Le changement du "nous" en "parmi vous" a occulté cette possibilité de lecture; sinon le pronom peut se rattacher au verbe qui le suit: “Dieu a fait choix pour nous”; mais dans ce cas on ne saisit pas bien pourquoi Pierre situait en des temps reculés son expérience auprès des païens qui remontait seulement à une dizaine d'années.

     

    15,7c Les païens entendraient la parole de l'évangile et croieraient.

    Pour la première fois , le terme évangile, fréquent chez les deux autres synoptiques, apparaît dans les écrits de Luc. Il vient sur les lèvres de Pierre lors de cette assemblée de Jérusalem généralement datée de 47/48. Jusque là était utilisé le verbe évangéliser (annoncer la bonne nouvelle) employé seul, soit dans une expression telle que : annoncer la bonne nouvelle de Jésus Christ (Ac 5,42, 8,35, 11,20); évangéliser, c'était délivrer l'enseignement de Jésus , à une époque où les récits de sa vie n'étaient encore qu'oraux.
    Il se pourrait que le terme évangile ait servi, au sein de l'institution apostolique, à dénommer l'ouvrage mis par écrit et englobant par voie de conséquences l'enseignement oral qui l'avait précédé. De l'évangile écrit, le v 3 du chapitre XVIII est une confirmation.

     

    15,11 Mais par la Grâce du Seigneur Jésus Christ 

    Pierre confessait sa foi dans "le Seigneur Jésus Christ", ici comme à la Pentecôte et devant le centurion Corneille . Dans le texte alexandrin le nom Christ a été retiré de manière presque systématique, de manière à en réserver la confession à une certaine étape de la vie chrétienne.
     cf Le nom Seigneur Jésus Christ dans les Actes


    15,12a Les anciens ayant donné leur assentiment aux propos de Pierre (D itd (itl) syrh* Ephraemi)

    Pierre devait-il être approuvé par les anciens pour être suivi? Pierre avait-il perdu l'autorité et devait-il passer par l'assentiment du collège apostolique? C'est la question que pose ce verset qui a disparu de la tradition alexandrine qui cherchait à ne pas minorer la position du premier des Apôtres par rapport à son successeur (cf v 13 )


    15,12b Barnabas et Paul 

    Barnabas est à nouveau nommé en premier; mandaté nommément par l'église de Jérusalem, c'était à lui de rendre compte de leur périple depuis son départ de la ville sainte; même chose en 15,25 dans la lettre apostolique adressée par l'église de Jérusalem à l'église d'Antioche.

     

    15,13 Se levant, Jacques dit:

    C'est la seconde fois que ce personnage est nommé dans les Actes (cf Ac 12:17) , mais sans que Luc l'ait présenté.
    Il se lève car il détient l'autorité, à la différence de Pierre qui s'était levé dans l'Esprit. Luc manifestait la différence d'autorité exercée par l'un et l'autre. Pierre était l'ancien des anciens, témoin de la vie de Jésus et initiateur de l'évangélisation des païens. Jacques était quant à lui le responsable de l'assemblée auquel revenait le pouvoir décisionnaire.
    "Se levant " a disparu du texte alexandrin qui a cherché à ne pas majorer l'autorité de Jacques par rapport à Pierre. Jacques étant considéré comme un Pharisien, la tradition alexandrine a manifesté un parti-pris contre lui (sur la personnalité et l'identité de Jacques, cf verset 17 ci-dessous) . 

     

    15,14 Siméon a raconté comment tout d'abord Dieu a fait un recensement pour prendre d'entre les nations un peuple à son nom. 

    Siméon et non point Simon. Il ne s'agit pas de Simon-Pierre, mais de quelqu'un d'autre . La tradition juive fait remonter à Siméon le Juste un récit selon lequel Dieu se serait adressé à plusieurs autres nations, avant qu' Israël seul ne l'accueille.  Jacques situait l'annonce de l'évangile aux Païens en fonction d'un dessein divin remontant aux origines. En cela il rejoignait le discours que venait de faire Simon Pierre qui rattachait son annonce aux païens aux temps anciens (v 7). En prenant la parole après Pierre, Jacques parlait en continuité avec lui, tout en évoquant une tradition remontant à Siméon le Juste.

    Bibliogr: J Read Heimerdinger op cit, vol 3 ad loc.

    Actes 15, 16 μετὰ δὲ ταῦτα ἐπιστρέψω  καὶ ἀνοικοδομήσω τὴν σκηνὴν Δαυῒδ 
    τὴν πεπτωκυῖαν, καὶ τὰ κατεσκαμμένα αὐτῆς  ἀνοικοδομήσω καὶ ἀνορθώσω αὐτήν, 17 ὅπως ἂν ἐκζητήσωσιν οἱ κατάλοιποι τῶν ἀνθρώπων τὸν Θέον, καὶ πάντα τὰ ἔθνη  ἐφ' οὓς ἐπικέκληται τὸ ὄνομά μου 
    ἐπ' αὐτούς, λέγει Κύριος ποιήσει ταῦτα [.].
    16 Après cela, je me retournerai, et je ré-édifierai la tente de David, qui est tombée et ses ruines je les ré-édifierai, et je la redresserai, 17 Afin que le reste des hommes, recherche Dieu, ainsi que toutes les nations sur lesquelles mon nom a été invoqué.  Sur elles, le Seigneur dit qu' il fera cela. 

    Amos 9:11 ἐν τῇ ἡμέρᾳ ἐκείνῃ ἀναστήσω τὴν σκηνὴν Δαυιδ τὴν πεπτωκυῖαν καὶ ἀνοικοδομήσω τὰ πεπτωκότα αὐτῆς καὶ τὰ κατεσκαμμένα αὐτῆς ἀναστήσω καὶ ἀνοικοδομήσω αὐτὴν καθὼς αἱ ἡμέραι τοῦ αἰῶνος 12  ὅπως ἂν ἐκζητήσωσιν οἱ κατάλοιποι τῶν ἀνθρώπων καὶ πάντα τὰ ἔθνη ἐφ οὓς ἐπικέκληται τὸ ὄνομά μου ἐπ αὐτούς λέγει κύριος ὁ θεὸς ὁ ποιῶν ταῦτα
    11
    En ce temps-là, je relèverai la maison de David de sa chute, J'en réparerai les brèches, j'en redresserai les ruines, Et je la rebâtirai comme elle était autrefois,1 2 Afin que le reste des hommes [me] recherchent et toutes les nations Sur lesquelles mon nom a été invoqué, dit le Seigneur qui accomplit ces choses.

     בַּיֹּ֣ום הַה֔וּא אָקִ֛ים  ־סֻכַּ֥ת דָּוִ֖יד הַנֹּפֶ֑לֶת וְגָדַרְתִּ֣י אֶת־פִּרְצֵיהֶ֗ן וַהֲרִֽסֹתָיו֙ אָקִ֔ים וּבְנִיתִ֖יהָ כִּימֵ֥י עֹול 
    לְמַ֨עַן יִֽירְשׁ֜וּ אֶת־שְׁאֵרִ֤ית אֱדֹום֙ וְכָל־הַגֹּויִ֔םאֲשֶׁר־נִקְרָ֥א שְׁמִ֖י עֲלֵיהֶ֑ם נְאֻם־יְהוָ֖ה עֹ֥שֶׂה זֹּֽאת

    En ce temps-là, je relèverai de sa chute la maison de David, J'en réparerai les brèches, j'en redresserai les ruines, Et je la rebâtirai comme elle était autrefois,1 2Afin qu'ils possèdent le reste d'Édom et toutes les nations Sur lesquelles mon nom a été invoqué, Dit l'Éternel, qui accomplit ces choses.
    Cette parole du Prophète Amos venait à l'appui du récit de Syméon le Juste évoqué à la note précédente.
    Jacques la citait de mémoire; Luc a respecté ses failles sans recopier la LXX qui suivait littéralement l'Hébreu (à part la mention d'Edom que Jacques non plus n'a pas répercutée). "Je me retournerai", le verbe de la conversion n'est pas dans le verset d'Amos; toutefois l'image de Dieu, qui par un retour sur lui-même revient de sa colère est un thème fréquent chez les prophètes. Mais on ne saurait mettre sur un même plan la conversion des hommes et le changement d'attitude en Dieu; aussi la tradition alexandrine a préféré le verbe simple "se tourner vers". 
    Jacques parlait de reconstruire la tente de David et non de la redresser comme Amos qui se servait de ἀναστήσω (le verbe de la résurrection) . 
     

    15,17 Les nations sur lesquelles a été invoqué mon nom
    La même expression au passif est dans l'épître de Jacques; elle répond à la préoccupation du prêtre à qui revient le rôle de bénir les fidèles dans le Nom divin. Cette préoccupation est un indice sur l'identité de Jacques.
    http://codexbezae.perso.sfr.fr/cb/css/arrred.gifL'épître de Jacques , ch 2, v 7 
    http://codexbezae.perso.sfr.fr/cb/css/arrred.gifJacques le Frère du Seigneur

    15,18 Depuis toute éternité son oeuvre est connue du Seigneur.En ajoutant cela, Jacques affirmait que le salut des nations était envisagé par Dieu, non seulement depuis l'Antiquité mais depuis toute éternité; le salut des nations autour d'un petit reste de fidèles au Seigneur était un leitmotiv du judaïsme prophétique, ce petit reste étant consitué en l'occurrence des Apôtres et des premiers disciples. De même que Dieu avait choisi Israël d'entre les nations, Jacques réaffirmait la pérennité de ce choix divin à travers la première communauté des croyants, ce petit reste auquel venaient s'agréger des nations. 15,19- C'est pourquoi j'estime qu'il n'y a pas à tourmenter ceux des païens qui se convertissent à Dieu.Jacques, ne parlait pas d'une conversion des païens à Jésus Seigneur comme le faisait Pierre, mais à Dieu. Le débat se tenait donc à l'intérieur du judaïsme pratiqué jusque là par les Apôtres. 15,22 Alors on émit l'opinionLes suggestions venant de l'assemblée, Luc n'a pas dévoilé de qui émanait telle ou telle proposition, gardant les interventions dans l'anonymat en dehors des discours de Pierre et de Jacques.
     
    Juda appelé BarabbasBarabbas est dans le texte grec et latin au lieu de Barsabbas. Erreur de scribe?  Juda était l'Apôtre, le frère de Jacques aussi Barsabbas, fils du sabbat,  semblerait assez bien convenir à un observant des coutumes de Moïse. Par contre Barabbas avait un  désastreux antécédent en Lc 23,18, prétexte suffisant pour bannir ce nom, malgré son étymologie: fils du père. 15,25 Avec vos bien-aimés Barnabas et PaulLe pronom manifeste une certaine distance entre les autorités de Jérusalem et les deux apôtres que le remplacement par “nos” (tant dans le latin correspondant que dans l'ensemble de la tradition) tend à atténuer.


    15,28 - de ne pas nous imposer de charge autre que celles nécessaires. 

    Un nous qui pourrait être le fait d'une dittographie (un cas relevé déjà à plusieurs reprises dans ce manuscrit des Actes) et traduit dans le pendant latin par "vous" comme dans les autres témoins scripturaires. Garder ce “nous” confère une orientation toute autre à l'église de Jérusalem considérée comme conservatrice par le courant Paulinien. Cela signifierait qu'elle n'imposait pas le joug de la Loi aux Chrétiens d'origine Juive, laissant chacun statuer en conscience. Ce serait conforme à ce que disait Pierre aux v 9-10: « Dieu...n'a inscrit aucune séparation  entre nous (les Juifs) et eux (les Païens),  ayant purifié leurs coeurs par la foi.  10 Maintenant donc, pourquoi éprouvez-vous Dieu,  en mettant sur le cou des disciples un joug que ni nos pères ni nous n'avons eu la force de porter?» Dans sa recommandation l'église de Jérusalem ne mettait pas d'un côté les Païens, de l'autre les Juifs-Chrétiens; tous étaient disciples du Christ.
    Paul l'a faite sienne, alors que jusque là, il se contentait de ne pas imposer la loi aux nouveaux convertis du paganisme (v2). Il n'a jamais parlé de cette lettre apostolique dans ses écrits, comme si la non différenciation entre Juifs et Païens était due à son initiative propre, et non à l'orientation prise par l'assemblée de Jérusalem. Il s'est attribué un bénéfice qui devrait revenir à Jacques avec lequel il était en conflit dès l'époque du martyr d'Etienne, à en croire le ch V des homélies Clémentines. Jacques, dans sa lettre, qui est peut-être le premier écrit du Nouveau Testament, manifestait une orientation non moins humaniste que celle du Fils de l'homme, bien peu pharisienne, et sans réminiscences de la Loi. Avec Paul, la tradition alexandrine a donné de lui l'image d'un personnage sur la défensive, attaché aux lois ancestrales. 
    15,29 s'abstenir des souillures des idoles, du sang, [des viandes étouffées] et de l'impudicité.(D itd itgig Aristides Irenaeus, 1739 (Ambrosiaster) Ephrem Ambroise Augustin)L'ordre adopté dans la lettre, différent de celui du discours au v 20, offre une inversion entre l'interdit du  sang et celui de l'impudicité.
    Avec la règle d'or (énoncée à la suite), ces prescriptions de Jacques consignées dans la lettre apostolique, se rattachaient très directement à la Loi Noahide du livre des Jubilés, une loi en sept points que l'on faisait remonter à Noé . Celui-ci aurait prescrit à ses enfants :
    1 - d'accomplir la justice, 
    2 - de se couvrir pudiquement  = s'abstenir de l'impudicité 
    3 - de bénir le Créateur, 
    4 - d'honorer père et mère, 
    5 - d'aimer son prochain    =   ne pas faire à autrui...règle d'or 
    6 - de se prémunir de toute débauche = s'abstenir des souillures des idoles 
    7 - et de toute violence. =   s'abstenir du sang (le meurtre) 
    Les prescriptions de Jacques recoupaient les points 2,5,6,7 de cette loi humaniste. Il les avait émises à l'endroit des païens devenus “craignant-Dieu” , confirmant   ainsi la vision qu'avait eue Pierre à Joppé http://codexbezae.perso.sfr.fr/cb/css/arrred.gif d'une arche de Noé ( cf Ac 10, v16) par laquelle les païens trouvaient, eux aussi, le salut. 
    La loi Noahide vient de la tradition du livre des Jubilés composé dans la seconde moitié du II siècle avant l'ère chrétienne et qui répondait à une vision sacerdotale en confrontation avec l'orientation pharisienne; elle distinguait de manière nette les prescriptions auxquelles devaient se soumettre les païens désireux d'être sauvés, de la Loi de Moïse suivie par les Israélites. Pour cette raison, elle n'intégrait pas le commandement donné par Dieu à Noé de ne pas boire le sang (Gn 9,4), parce que celui-ci faisait partie des lois de casheroute sur la nourriture, les viandes devant être consommées après avoir été dégorgées de leur sang. Cette prescription instaurait une rupture profonde avec le monde païen qu'il convenait d'observer. Or c'est cette prescription là, justement, que la tradition alexandrine a rajoutée au discours de Jacques et à la lettre apostolique ,  de manière abrégée : καὶ τοῦ πνικτοῦ = et de l'étouffement; une bête morte par étouffement n'est pas vidée de son sang qui est alors consommé avec la viande. C'est à cela qu'il était fait allusion. 
    Paradoxalement cette insertion se fondait sur le Talmud où se trouve énoncée une loi de Noé en 7 points, et non sur le livre des Jubilés, bien que celui-ci ait été longtemps reçu de la tradition chrétienne. Cette insertion visait à inscrire les recommandations de Jacques dans un contexte pharisien, légaliste. Elle en a , en quelque sorte, déformé l'esprit , ne permettant plus de voir la continuité profonde entre le discours de Pierre et celui de Jacques .
     
    15,20b et 29 : et tout ce qu'ils ne veulent pas qu'il leur arrive à eux-mêmes: "ne le faites pas à d'autres!".Jésus avait repris à son compte un proverbehttp://codexbezae.perso.sfr.fr/cb/css/arrred.gif appelé règle d'or et  issue de Hillel, mais en l'énonçant de manière positive:"Comme vous voulez que les humains fassent pour vous, faites de même envers eux”. Lc 6,31, et Matthieu avait ajouté qu'en cela se résumait la Loi et les Prophètes (Mt7,12). C'était beaucoup plus qu'une simple conduite éthique. Jacques paraissait l'ignorer ou ne plus se souvenir de ce précepte qui à lui seul pourrait résumer la différence entre les deux spiritualités, Juive et Chrétienne. En le glissant dans les prescriptions, il formait un pendant à celle de l'amour du prochain, n°5 de la loi Noahide. En l'ôtant, le courant alexandrin donnait au discours de Jacques et aux prescriptions de la lettre apostolique un caractère légaliste et non humaniste.15,29c dans le Saint Esprit...(D ; 1739mg itd (itl) , Irenée, Tertullien).
    32 pleins d'esprit Saint
     (D)Le jugement de l'assemblée était vécu comme une oeuvre de l'Esprit du Christ  présent au milieu d'elle. Nouvelle insistance sur la vie dans l'Esprit que n'a pas gardée le texte alexandrin. (cf v 7). Cette disparition s'explique en fonction de celle du v 41, ci-dessous. 


    15,34 - Toutefois il parut bon à Silas que eux restent. Mais Jude seul s'en alla 

    Le correcteur du codex Bezae a ajouté la préposition προς devant le pronom, comprenant: "il parut bon à Silas qu'il reste auprès d'eux "; ce verset a été omis dans les grands onciaux mais la première phrase a été gardée dans la majorité des manuscrits en cursives, sans le pronom: "il parut bon à Silas de rester”. L'information de la permanence de Silas à Antioche était en effet nécessaire pour permettre de suivre la chronologie. Avec Jude, ils avaient été remerciés avec circoncpection et priés de retourner d'où ils venaient . Mais Silas avait pris goût à la communauté d'Antioche et souhaitait s'y maintenir; il avait su retenir l'attention de Paul qui allait bientôt le prendre pour compagnon de route.


    15,38 Celui qui s'était séparé d'eux depuis la Pamphylie, et ne s'était pas joint à l'oeuvrepour laquelle ils avaient été envoyés, celui-ci ne [devait] pas être avec eux.

    La dernière phrase est unique à D, mais celle qui la précède est partagée par un certain nombre de manuscrits (p45 itgig vgcl) tandis que la première ligne est commune à tous. Les copistes ont atténué le caractère excessif du jugement de Paul à l'égard de Jean-Marc. Cependant un tel jugement se rencontre sous la plume même de Paul, vis à vis de Démas, par exemple (2Tim4:9) . Luc donnait comme raison première de leur séparation, un conflit de personnes, tandis que Paul en Gal 2,13 laissait entendre que l'orientation suivie par Barnabas en était la cause. À la suite de l'assemblée de Jérusalem, Paul accentua la position théologique prise par l'assemblée (cf v 28) d'indifférenciation entre les hommes devant le salut apporté par le Christ.


    15,40 Paul se choisit Silas
    Le codex Cantabrigiensis offre ἐπι
    δεξάμενος , exhibé; une erreur pour ἐπιλεξάμενος, choisi. 

    15,41 transmettant les recommandations des anciens (D (itd) (syrh(mg) ἀποστόλων καὶ πρεσβυτέρων)

    Paul fortifiait les églises de Syrie et de Cilicie en leur transmettant les consignes données à Jérusalem. Selon Luc, il ne se dissociait pas encore de ce courant porteur.
    La suppression de cette phrase dans la tradition alexandrine manifeste que le texte fut retouché sous un "angle de vue Paulinien”. En effet Paul ne se recommandait pas de l'église de Jérusalem et n'a jamais fait cas dans ses écrits de la lettre apostolique. Puisqu'on ne tenait pas compte de la recommandation des anciens, il s'avérait inutile de dire que ceux-ci étaient conduits pas l'Esprit Saint (v 29 et 32). 
    L'assemblée de Jérusalem (cf v 28) et la séparation d'avec Barnabas furent à l'origine d'une réflexion nouvelle de la part de Paul, sur la non séparation entre Juifs et Païens. Sa lettre aux Galates écrite vers 56 exprime l'état de sa réflexion au moment où il écrivait ; au lieu de dire ce qui s'était produit huit ans plus tôt, il faisait une relecture des évènements avec l'acquis d'une réflexion et d'une prise de position intervenue entre les deux. Aussi le compte-rendu Lucanien paraît plus juste historiquement, que le parallèle de la lettre aux Galates. 
    (source :http://codexbezae.perso.sfr.fr)

     

    Paul,lui même juif de naissance(acte21:39), durant son voyage a eu à appliquer la circoncision sur un juif et non, un non-juif.Il a eu même a pratiqué un certains nombres de recommandation dans la loi de moise,mais ,il ne l'a jamais recommandé à un non-juif.

      

    16,1 - Traversant ces nations. 

    Un verset modifié dans le texte alexandrin pour ne pas faire double emploi avec le dernier verset du chapitre précédent.

    Du nom de Timothée

     

    Timothée n'était pas un seul et même personnage avec Tite puisque Paul parlait de Tite dans une de ses lettres à Timothée (2 Tim 4:10). Alors que Timothée signifie "qui craint/honore Dieu", Tite  qui vient du Latin Titus a pour homonyme grec l'adjectif Titos qui signifie: "qui mérite vengeance". Timothée parce que de mère Juive était Juif, à la différence de Tite qui était d'origine païenne. Quand Paul fit sa connaissance, Timothée s'appelait déjà de ce nom puisque Luc écrivait qu'en arrivant à Lystre: "Et voici, il y avait là un certain disciple du nom de Timothée”; en lui administrant la circoncision, Paul n'a pas changé son nom de Tite en Timothée. Les deux sont des personnages différents même si Paul s'adresait à chacun comme à un fils spirituel.

    16,3 - Il le circoncit. 

    Paul à Jérusalem n'avait pas fait circoncire le grec Tite qui était considéré comme simple craignant-Dieu puisqu'il était d'origine païenne. Par contre Timothée qui relevait par sa mère de la condition juive se devait de manifester son appartenance dès lors qu'il se mettait à fréquenter des frères Juifs, dont Paul, avec lesquels il entrait dans les synagogues. Il n'y avait pas contradiction entre la position prise par Paul et les Apôtres à l'égard de Tite et celle prise par Paul envers Timothée. L'appartenance au peuple depuis Esdras était donnée par la lignée maternelle. L'appartenance à une tribu venait de la reconnaissance paternelle. 
    Cet acte de Paul est cohérent avec les différentes nuances du codex Cantabrigiensis relevées au chapitre précédent et qui témoignent de la pensée de Paul à cette étape.
    http://codexbezae.perso.sfr.fr/cb/css/arrred.gif Actes 15,2 et 15,41.

    Conclusion: 

      

    L'on ne peux confondre "la reunion importante" qu'il eût à cet époque, à un concile.

    Rappeller vous, c'est bien elle, la grande prostitué ( et ses filles), qui s'enivre du sang des saints depuis des siècles.

    Elle n'a épargné aucun disciple de MASHIAH.

    Comment donc Pierre qui a été exécuté par Rome, peut-il être encore le premier pape?

    Pierre pouvait-il s'atttribuer la gloire des hommes?

    (Lire Acte 14 et voyez l'attitude de Paul et Barnabas face à l'élévation des hommes)

    Absolument pas!

    Comprenez donc notre attitude d'extirper la Babylone du milieu de nous, elle,ses mensonges et les fils du mensonge !

    Amen

     

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